Un nouveau rebondissement survient dans l’affaire Badara Gadiaga. Après son audition sur le fond, ses avocats ont déposé une demande de liberté provisoire, rapporte Libération.
Le chroniqueur avait été placé sous mandat de dépôt à la mi-juillet 2025 pour diffusion de fausses nouvelles, propos contraires aux bonnes mœurs, offense à une personne exerçant tout ou partie des prérogatives du Président de la République, ainsi que pour réception, sollicitation ou acceptation de dons en vue de mener une propagande susceptible de compromettre la sécurité publique.










