La venue du président Bassirou Diomaye Faye à Paris n’est pas une visite protocolaire : c’est un bras de fer. Pour la première fois depuis des décennies, un président sénégalais foule le sol français non pas comme un élève devant son maître, mais comme un homme libre, porteur de la volonté souveraine de son peuple.
Président Diomaye Faye n’est pas Macron. Macron incarne une France crispée, attachée à ses privilèges coloniaux et à une vision arrogante de l’Afrique. Président Diomaye, lui, incarne la rupture : un Sénégal debout, décidé à rompre les chaînes de la dépendance, prêt à défendre bec et ongles ses ressources, son économie et sa dignité.
À Paris, le président sénégalais n’est pas venu pour prolonger les deals obscurs du passé. Il est venu pour dire non aux contrats léonins, non à l’exploitation de nos richesses sans contrepartie, non à l’humiliation monétaire du franc CFA. Ce face-à-face avec Macron est un test : la France est-elle prête à traiter l’Afrique d’égal à égal, ou veut-elle continuer à entretenir la domination ?
Le peuple sénégalais observe. L’Afrique observe. Cette visite n’est pas seulement diplomatique, elle est historique. Car si le Président Diomaye Faye tient tête et impose le respect, ce n’est pas seulement le Sénégal qui gagne, c’est tout un continent qui reprend confiance.
Dakar ne se rend plus à Paris pour recevoir des ordres. Dakar vient pour imposer une nouvelle équation : partenariat équitable ou rien. Car l’ère de la soumission est terminée. L’Afrique entre dans une ère nouvelle, et le Sénégal, avec Président Diomaye Faye, ouvre la voie.
Caporal Fall