C’est un homme pressé, le Président du Pcs/Jengu Tabax Boubacar Camara ne veut pas marcher plus vite que son ombre. La vitesse du sablier et l’échéance de la Présidentielle 2024 ne lui a pas fait perdre la tête. Il marche á son rythme et prend le temps de coucher ses ambitions sur un ouvrage á paraître bientôt aux éditions l’Harmattan. « Construire le Sénégal du Futur», un livre au titre révélateur comme une prémonition sur ses ambitions présidentielles ou simple effet de manche ? Il faudra surveiller les parutions prochaines de chez Harmattan pour goûter aux délices de ce livre dont le titre sonne comme un aveu : « Construire le Sénégal du Futur ».
A 64 ans, Boubacar Camara ne laisse rien filtrer des bonnes feuilles de son ouvrage á paraître, il s’évertue á donner quelques sucettes, façon de mettre l’eau á la bouche aux amoureux de lecture et á ses partisans nombreux á couver le futur bébé pour peut-être bien lire les ambitions de leur « Président ». Boubacar Camara explique sans entrer dans les détails que L’ouvrage « Construire le Sénégal du Futur » constitue une réponse programmatique pour un nouveau projet de société reposant sur un changement de cap. Il est l’argumentaire du Programme TABAX ËLËG.
Dans ce livre, Boubacar Camara présente une autre façon de s’y prendre pour atteindre l’objectif de développement durable du Sénégal.
Cet ouvrage est un argumentaire pour justifier une option politique : le changement de cap. Il explique largement le bien-fondé des propositions formulées et leurs bienfaits pour le Sénégal.
Après avoir décliné une vision globale consistant à « bâtir un Sénégal prospère par un capital humain épanoui à partir de l’exploitation judicieuse des ressources naturelles pour un développement durable », l’accent est mis, dans un premier chapitre, sur la nécessité de valoriser les atouts du Sénégal, qui peuvent se résumer en trois points : la stabilité politique, la chance de disposer de ressources naturelles en quantité significative et de bonne qualité, et le bonheur de pouvoir compter sur un précieux capital humain dans un écosystème technologique favorable.
Dans les huit chapitres suivants, après avoir plaidé pour la réinvention d’un socle pour la nation (chapitre 2) et insisté sur le préalable de l’acceptation de la citoyenneté (chapitre 3), l’ouvrage balaie tous les secteurs de l’économie et de la vie sociale pour, enfin, prôner une ouverture indispensable sur l’Afrique.
À partir du quatrième chapitre, l’ouvrage construit une offre programmatique sur l’éducation et la recherche, la santé, la transformation industrielle dans tous les secteurs et l’administration.
Dans le chapitre 8, il est question de «Mettre de l’ordre» : « Le Sénégal est fatigué du désordre et de la tromperie. Il a besoin de changer de cap ». Aucun secteur n’est épargné avec, à la clé, des propositions précises et argumentées sur les institutions, la corruption, le processus électoral, l’aménagement du territoire, la protection de l’environnement, la sécurité, le commerce, le transport, la logistique, la solidarité, la protection des femmes, des jeunes, des enfant et des personnes vulnérables.
Le dernier chapitre de l’ouvrage est consacré à l’intégration africaine (chapitre 9).
Dans cette direction et pour optimiser les externalités positives pour la construction future des États-Unis d’Afrique, l’option pertinente et prudente de la Fédération de l’Atlantique Ouest est adoptée.
Enfin, ce livre esquisse les contours de ce que pourraient devenir notre pays et l’Afrique si les élites politiquement engagées, conscientes et déterminées pour l’intérêt bien compris du continent, réussissent, à travers un sursaut salvateur, la nécessaire exploitation souveraine, judicieuse et transparente des énormes ressources et potentialités et à impliquer le capital humain précieux disséminé dans tous les continents.
En résumé, l’ouvrage « « Construire le Sénégal du Futur ».» est une offre radicale de changement de cap avec des propositions concrètes, réalistes et réalisables.
"Tous les Sénégalais savaient que son arrestation n’était qu’une question de jours. Abdou Nguer agace parcequ’il n’a ni la...
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